François Hollande, J’ACCUSE : « Moralisation et exemplarité = Mensonges et débilité intellectuelle ! »

Patong Beach, le 26 avril 2013

Courriel :

xxxxxx@neuf.fr

Objet :

François Hollande, J’ACCUSE : « Moralisation et exemplarité = Mensonges et débilité intellectuelle ! »

(Copie au Parti socialiste, au Monde et au Figaro)

 Monsieur François Hollande

Palais de l’Elysée

55, rue du Faubourg Saint-Honoré

75008 Paris

[Courrier recommandé avec accusé de réception]

 Monsieur,

 Vos récents propos promettant aux Français, après l’affaire Cahuzac, la moralisation de la vie politique et l’exemplarité de politiciens devenus miraculeusement irréprochables me donne une nouvelle et excellente occasion de vous rappeler la correspondance adressée à votre intention depuis le 6 octobre 2000, en particulier celle du 21 février 2012 qui avait pour objet, « François Hollande pour information: « Le « coup de la finance« , les mensonges, les incohérences et autre « méthode Coué » du candidat Hollande! ».

Néanmoins, bien qu’accompagnée par le courrier adressé à Gérard Leclerc, président de LCPAN (La Chaîne parlementaire de l’Assemblée nationale), dont copie ci-jointe, elle demeure toujours sans réponse sur le fond jusqu’ici, ce qui est très pratique pour continuer à colporter impunément mensonges et autres « croyances au miracle », marchepied idéal pour parvenir au sommet de l’État, comme vous l’illustrez si bien – sauf à vous-même, évidemment, de démontrer la fausseté de mes accusations sur des points très précis de désaccord, puisque la totalité de ce courrier est toujours à votre disposition, et sans oublier que je vous avais vainement mis au défi, en son temps, de confronter en justice votre vérité et la mienne, ce qui n’est plus d’actualité, du fait d’une Justice désormais à vos ordres.

Je ne reviens pas toutefois en détail sur l’ensemble des arguments déjà avancés en une vingtaine de lettres et je me borne donc à souligner que la Gauche en général et le Parti socialiste en particulier continuent de fonctionner essentiellement sur le penser superstitieux humain contre lequel vous avez été pourtant plus qu’amplement mis en garde, à de très nombreuses reprises.

Pour mémoire et pour la énième fois, ce penser superstitieux consiste à faire passer pour absolu, pour LA Vérité ou réalité absolue, le contenu seulement relatif de notre entendement pratique, à savoir le penser en images et le penser des concepts et abstractions scientifiques (cf.  Imaginatio et ratio chez Spinoza).

Cette « absolutisation fictive du relatif », dans un monde où TOUT est relatif et RIEN n’est absolu, se manifeste dans la religion, toutes religions confondues (monothéistes ou non), dans la métaphysique matérialiste ou scientisme, dans la métaphysique idéaliste ou pseudo-philosophie spiritualiste des philosopheurs Descartes et Kant notamment, dans l’idéologie, toutes idéologies confondues (communisme, socialisme et altermondialisme inclus), et dans le moralisme [Morale et condamnations moralisatrices des Autres au nom de LA morale : LAQUELLE ? !], tous catéchismes réunis, y compris le catéchisme soi-disant universel contemporain ou Déclaration universelle de 1948, dont seule l’inobservation est réellement universelle – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire à l’aune du devenir du monde depuis sa promulgation, il y a plus de soixante ans, ainsi que je vous l’ai vainement réclamé à de multiples reprises en douze ans !

Faute d’y être parvenu et d’y parvenir, vous continuez donc à colporter les mensonges du moralisme superstitieux avec sa fable des bons et des mauvais, des gentils et des méchants, des « vertueux » et des « salauds » par nature ; une fable pourtant dénoncée sans ambiguïté, il y a deux mille ans, par l’un des grands diseurs universels de LA Vérité éternelle absolue, mais toujours d’actualité dans notre monde – c’est toujours tellement juteux, politiquement parlant, que la diabolisation du Front national continue à en témoigner depuis bien des années  ! ! !

En vérité, il n’y a pas, il n’y a jamais eu, et il n’y aura jamais d’individus ni de groupes d’individus, tous critères d’appartenance confondus (ethniques, religieux, politiques, etc.) réellement irréprochables, pas plus qu’il n’y a, d’un côté, les bons, les « vertueux » – nous -et de l’autre, les méchants, les « salauds » – eux

En réalité, il n’y a que des individus égoïstes, TOUS sans aucune exception (hypocrites et inconscients inclus), qui agissent pour leur plus grand profit, individuellement et collectivement, au gré de leurs désirs et intérêts égoïstes dans leurs affaires d’amour, de possession – d’où l’importance de l’argent et la recherche du profit ! – et de gloire ou honneur-vanité.

 C’est pourquoi votre campagne de moralisation politique ne changera rien à l’affaire, en dépit du dicton populaire : « La peur du gendarme est le commencement de la sagesse » car, sinon, nos prisons ne seraient pas surpeuplées !

La fraude et l’évasion fiscales continueront comme auparavant, et la déclaration de patrimoine des élus n’y changera pas grand-chose, d’autant plus qu’elle a déjà fait ses preuves en matière de tricherie, au point que des exemples s’en trouvent aussi dans vos rangs, au plus haut sommet de l’État, pour éviter de payer l’ISF

 Il faudrait profiter de l’occasion pour dénoncer et châtier les promesses mensongères des candidats de tous bords, lesquels trompent ignominieusement l’électorat en se fondant sempiternellement sur une égalité et une liberté soi-disant « absolues », qui n’existent pas et n’existeront jamais sur Terre, mais que la Gauche prétend pouvoir transposer dans la réalité quotidienne : hélas, DEMAIN, toujours DEMAIN, mais seulement DEMAIN, à la saint Glinglin !

 Cette « foutaise » d’égalité absolue vous a néanmoins permis de faire passer malhonnêtement votre projet de mariage pour tous sur des propos aberrants de Christiane Taubira déclarant sans vergogne devant l’Assemblée nationale « Nous déclarons l’égalité… » ; un autre bel exemple de méthode Coué de la Gauche française – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire !

 Pour moraliser la vie politique, il faudrait aussi pouvoir invalider la candidature de tous ces faiseurs potentiels de miracles, ce qui vous aurait évidemment empêché de briguer la magistrature suprême tout comme vos principaux concurrents du premier tour, que j’ai nommément accusés, durant la dernière campagne présidentielle, sous l’intitulé commun suivant : « Et le combat de LA Vérité visant les candidats de la Présidentielle 2012 cessa faute de combattants ! », mais qui se sont tous bien gardés, à votre exemple, de débattre sur le fond, comme je peux, évidemment, en apporter la preuve !

En conclusion, j’affirme donc que votre nouvelle promesse de moraliser la vie politique s’avèrera, au fil du temps, n’être qu’un mensonge de plus, car LA Morale n’y changera rien, comme l’avenir proche ne tardera pas à le confirmer, mais votre succès aura donné à beaucoup un bien mauvais exemple encourageant pour promettre la lune.

LA morale repose en effet uniquement sur des fictions et est donc elle-même forcément mensongère. Outre la première des fictions, à savoir la division des humains en deux catégories par nature, le moralisme superstitieux se fonde aussi sur la croyance en un Bien et un Mal absolus, alors que tout dualisme des absolus est une impossibilité absolue, comme l’établit le propos suivant de Spinoza, qu’il ne vous est pas interdit de contester, à savoir :

« Nous ne désirons pas une chose, parce qu’elle est bonne (absolument bonne ou bonne en soi, c’est parce que nous la désirons que nous la jugeons bonne. »

Dans l’attente de votre éventuelle réponse contraire intellectuellement et philosophiquement argumentée, je m’en tiens aux affirmations et accusations ci-dessus, à défaut de quoi votre silence et votre refus d’affronter LA Vérité manifesteraient votre intention délibérée de continuer à colporter les mensonges et les « croyances au miracle » du monde, donc à manipuler et à tromper sciemment l’opinion.

Je souligne que j’ai négligé de développer ici la troisième fiction du moralisme, à savoir l’illusion de notre « libre arbitre », cette soi-disant volonté libre, en vertu de quoi il suffirait de vouloir pour pouvoir, à l’exemple du Yes, we can d’Obama, cette énorme duperie de l’électorat américain, également sur fondement de méthode Coué.

Pour terminer, dans l’hypothétique éventualité de vous voir enfin débattre sur le fond, je joins à cet envoi, afin devous y aider, mon texte fondateur, « Vérité éternelle absolue versus mensonges et lâcheté des élites du XXIe siècle ! », qui visait deux cents d’entre elles de notre époque,  tous milieux confondus : médias, responsables politiques, intelligentsia (prétendus intellectuels ou pseudo-philosophes) et associations moralisatrices à sens unique, donneuses de leçons de morale aux Autres, sans être pour autant elles-mêmes irréprochables.

Je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur, mes salutations philosophiques, laïques et républicaines – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire au vu du document annexé.

Annexe A – Lettre du 3 févier 2012 à Gérard Leclerc, président de LCPAN

                                                                            Patong Beach, le 3 février 2013

Objet : « Le « coup de la finance », les mensonges, les incohérences et autre « méthode Coué » du candidat Hollande ! » [Version expédiée]

                                                                               Monsieur Gérard Leclerc

                                                                              Président de LCPAN

                                                                              Courriel : g.leclerc@lcpan.fr

 «Si je sais la vérité et ne gueule pas la vérité, je suis le complice des escrocs et des faussaires ! » [Charles Péguy]

Monsieur,

J’étais sur le point d’envoyer à François Hollande un nouveau courrier sur le thème mentionné en objet, mais faute d’avoir pu expédier le commentaire rédigé en ligne sur le site Internet de La Chaîne Parlementaire de l’Assemblée nationale, LCPAN, pour dénoncer la déclaration tonitruante du candidat socialiste contre la finance, je décide de m’adresser directement à vous avant de lui faire également parvenir la copie de ce courrier.

Je joins à cet envoi mes toutes dernières lettres au candidat socialiste, mais ce ne sont que quelques-unes parmi la vingtaine d’autres toujours sans réponse sur le fond depuis plus de dix ans, malgré mes gravissimes accusations sans ambiguïté, ainsi que vous pourrez le constater.

Dans mon bref commentaire sur Internet, j’avais écrit à peu près ce qui suit :

« Le coup de la finance de François Hollande, c’est une resucée de la mensongère « rupture avec le capitalisme » promise par François Mitterrand lors du Congrès d’Épinay en 1971, dont la France et le monde attendent néanmoins toujours les effets plus de quarante ans après, et ils devront patienter bien longtemps encore avant de voir l’avènement de la nouvelle « croyance au miracle » de l’actuel candidat socialiste. »

Après tout, cela fait maintenant plus de deux siècles, après la première grande révolution planétaire, que les éternels naïfs, cocus et frustrés espèrent que les vendeurs d’illusion et autres marchands de rêve transposent leur Idéal d’égalité parfaite et de liberté absolue dans la réalité quotidienne du monde ! ! !

Néanmoins, dressé sur ses ergots de coq gaulois, un petit « Frenchie » a l’absurde prétention de mettre au pas la finance internationale, alors que la Chine maoïste d’hier spécule à qui mieux-mieux aujourd’hui sur les marchés financiers internationaux et que l’Europe, de sommet en sommet, n’est toujours pas parvenue à régler leur compte à des agences de notation sans véritable légitimité qui font la pluie et le beau temps, en dehors de toute vérité avérée, à en juger d’après leurs propres dissensions sur l’attribution des notes.

En clair le candidat Hollande entend ni plus ni moins «vouloir moraliser le capitalisme», ce qui est une preuve parmi bien d’autres de la débilité intellectuelle de l’époque, dont les faiseurs d’opinion d’aujourd’hui, les soi-disant « élites », refusent de débattre, ainsi que je peux en apporter la preuve avec près de cinq cents lettres adressées à quelques deux cents destinataires, mais toujours sans réponse sur le fond, à une exception notable près.

C’est pourquoi leur silence et leur refus volontaire du véritable débat d’idées, maintes fois proposé, m’autorisent aussi à dénoncer la lâcheté et la malhonnêteté intellectuelles de ces faiseurs d’opinion de l’époque, tous milieux confondus [Médias de toutes tendances, responsables politiques de tous bords, intelligentsia (prétendus intellectuels ou pseudo-philosophes) et associations moralisatrices à sens unique], ainsi que vous le trouverez amplement étayé, intellectuellement et philosophiquement, dans le texte annexé, Mensonges et lâcheté des élites.

Toutefois, compte-tenu de l’abondance des documents annexés, dans lesquels vous trouverez amplement développée mon argumentation dénonçant les mensonges et les croyances au miracle du penser superstitieux sur lesquels ils se fondent, je me borne ici à indiquer brièvement en quoi consiste ce dernier.

Le penser superstitieux humain, longuement analysé dans l’œuvre du philosophe juif allemand Constantin Brunner (1862-1937), héritier spirituel des plus grands penseurs universels, tant mystiques authentiques, tels Lao-Tseu, le Bouddha et le Christ, entre autres, que vrais philosophes du UN absolu, parmi lesquels Socrate, Platon, Giordano Bruno et Spinoza, consiste à absolutiser fictivement le contenu seulement relatif de notre entendement – en clair, faire passer mensongèrement pour absolu, pour Vérité absolue, les infinies vérités relatives, bien souvent contradictoires, qui s’affrontent aujourd’hui dans notre monde politique en particulier.

Il s’exprime dans la religion, toutes les religions sans exception (monothéistes ou non), dans la métaphysique matérialiste, ou scientisme, dans la métaphysique idéaliste, ou pseudo-philosophie spiritualiste des « philosopheurs » Descartes et Kant tout particulièrement, dans l’idéologie, toutes idéologies confondues, altermondialisme inclus, et dans le moralisme [Morale et condamnations moralisatrices partisanes des Autres, au nom de LA Morale : LAQUELLE ? !], tous catéchismes réunis, y compris le catéchisme soi-disant universel contemporain, ou Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, dont seule l’inobservation est réellement universelle – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire, à l’aune du devenir du monde depuis sa promulgation !

Pour ce qui est des mensonges et des « croyances au miracle » du candidat Hollande, je vous renvoie au contenu des lettres suivantes, qui avaient respectivement pour objet, Primaire socialiste : «François Hollande disqualifié (cf. lettre du 27 septembre 2011), François Hollande, J’ACCUSE : « Arrêtez de mentir et de tromper l’opinion ! » (Télécopie du 28 octobre 2011), et François Hollande, pour mémoire et information: « Débilité intellectuelle de l’époque, lâcheté et malhonnêteté de ses élites ! » (Télécopie du 26 décembre 2011).

Pour faire bonne mesure, en matière de Vérité, je joins également ma lettre du 15 dernier adressée au quotidien Le Monde, en sa qualité de fervent soutien partisan de la gauche en général et du Parti socialiste en particulier, lettre qui avait pour objet, Le Monde, J’ACCUSE (énième !) : « François Hollande, un président «normal » ? ! », dont j’attends et attendrai longtemps la réponse.

Je vous informe, en effet, que ce grand quotidien, du moins le prétendent nos soi-disant  intellectuels de gauche, a jeté officiellement l’éponge devant moi, le 26 janvier 2004, sans avoir pour autant établi jusque-là la fausseté de mes affirmations sur des points très précis de désaccord éventuel, et pas contesté davantage mes propos depuis lors, malgré mon insistance invitant sans cesse Le Monde à débattre sur le fond.

Je termine ce florilège de documents envoyés par ma lettre du 25 novembre dernier à EELV, et donc à Éva Joly en particulier. Elle avait sans ambiguïté pour objet : EELV, J’ACCUSE : « « Carabistouilles » électoralistes, cacophonie, pause médiatique et mensonge écolo ! », dans laquelle je dénonçai le mensonge du scientisme contemporain si favorable aux partis de gauche, mais qui n’en trompe pas moins l’opinion nationale et internationale – sauf à vous-même, évidemment, d’en apporter la démonstration contraire, après en avoir pris connaissance.

J’en viens aux incohérences du candidat Hollande, que vous retrouverez, ici et là, en parcourant les documents annexés. Elles consistent pour l’essentiel à prendre, aujourd’hui, l’exact contre-pied de ses prises de position d’apparatchik d’alors. Ainsi le candidat socialiste vient-il de déclarer au Bourget, le 23 dernier, son intention délibérée de « faire la guerre aux petits caïds de banlieue », alors qu’il jetait de l’huile sur le feu, en novembre 2005, au plus fort des émeutes, quand une véritable union républicaine aurait pu suffire à les éteindre, comme je le lui avais écrit dans ma lettre du 6 novembre 2005 dénonçant son comportement partisan en ces termes :

« Malgré votre malhonnêteté et votre lâcheté intellectuelles avérées par l’ensemble du courrier adressé entre le 6 octobre 2000 et le 29 juin dernier, toujours sans réponse à ce jour sur le fond, mais que je tiens à la disposition de quiconque – y compris de la Justice, si vous le jugez utile ! -, je ne peux laisser passer sans réagir très vivement votre attitude actuelle dans cette période d’insurrection, pas plus que vos propos antirépublicains faisant de Nicolas Sarkozy LE « bouc émissaire » de la situation. Cette pratique du « bouc émissaire, que vous condamnez quand elle vise les vôtres, devrait vous mettre dans une position embarrassante à son égard, à la juger d’un point de vue intellectuel et philosophique.

En effet, comment qui que ce soit pourrait-il assumer, à lui tout seul, la pleine responsabilité de tel ou tel évènement du monde, alors que TOUT y dépend de l’enchaînement infini de l’infinité des causes et des effets de tout ce qui s’y produit (phénomènes naturels, évènements historiques, actions de groupes, décisions et actes individuels) ? » [Fin de citation]

Autre incohérence de taille relevée dans la réunion du Bourget, au cours de laquelle François Hollande a déclaré : « Je n’aime pas les honneurs ! ». Cela s’appelle « se moquer du monde », et en particulier des électeurs, du seul fait de méconnaître la «triplette» de nos motivations égoïstes, amour, argent et gloire ou honneur-vanité, à laquelle personne n’échappe, à commencer par moi, mais sans oublier les sept milliards d’êtres humains d’aujourd’hui, comme je le lui ai très souvent fait savoir.

François Hollande voudrait donc sûrement nous faire croire qu’il souhaite passer cinq ans dans les appartements et autres salons dorés du Palais de l’Élysée, avec tout ce que cela entraîne comme honneurs de toutes sortes, uniquement pour faire le bonheur des Français, mais je vous donne, d’ores et déjà, rendez-vous en 2017, si nous sommes encore là, pour juger de ses résultats en matière de satisfaction des électeurs.

D’ici-là, sauf à lui-même d’apporter la démonstration contraire, son propos me donne une nouvelle et énième occasion de l’accuser de mentir et de tromper l’opinion, mais il ne vous est pas interdit de prendre sa défense, au vu de l’abondante documentation annexée, pour peu que vos arguments soient intellectuellement et philosophiquement étayés !

Dans mon argumentation à charge contre François Hollande, j’ajoute que c’est un grand spécialiste en matière de « rêve », comme le confirme  son discours du Bourget, précisément commencé par l’évocation du « rêve français » – mais, en matière de « Vérité », c’est une toute autre affaire ! ! !

Là, en effet, il frise, non seulement l’incohérence, mais carrément la « débilité intellectuelle », ainsi que je le lui ai également fait savoir sans ambages, en le mettant même au défi de confronter devant la justice sa vérité et la mienne, à savoir celle des grands diseurs universels de LA Vérité éternelle absolue, au nom de laquelle je n’ai eu de cesse, durant plus de dix ans, de dénoncer ses mensonges et ses croyances au miracle !

Je vous en laisse d’ailleurs juger par vous-même, au vu des deux déclarations suivantes du candidat socialiste, rappelées dans mes récents courriers à son intention – preuves matérielles d’envoi à l’appui ! Sans oublier son récent propos parlant de « réenchanter le rêve français », la première déclaration dénoncée a été faite sur LCI, le 21 novembre 2004, où François Hollande a parlé, avec la plus extrême conviction, de « cette gauche qui veut changer le monde et qui sait comment le changer. » (Sic !)

La seconde, toute récente, puisque faite après sa victoire à la « primaire socialiste », n’en est pas moins une « croyance au miracle », du genre de celles dont il a le secret. Le candidat socialiste à ni plus ni moins affirmé, en effet :

« Avec moi, demain, le monde sera meilleur qu’aujourd’hui, je vous en fais la promesse ! » : vous avez dit « charlatan » ? !

OUI, exactement, comme j’avais dénoncé, en son temps, le 15 octobre 2003, les propos de charlatan de José Bové, dont le texte mentionné est encore à votre disposition.

Quand je pense aux commentateurs de France 5 parlant sans rire de la «crédibilité» de François Hollande, au cours de l’émission, C dans l’air, qu’il vous est encore possible de réécouter, je n’ai vraiment pas tort d’écrire : « Le monde ment et Le Monde – donc les médias en général – colporte les mensonges du monde ! » (Cf. Texte annexé, Mensonges et lâcheté des élites)

En réalité, la soi-disant « crédibilité » de François Hollande n’est que directement proportionnelle à la « crédulité » de ses partisans, comme il en va d’ailleurs de toutes les mesures proposées par quelque candidat que ce soit pour les raisons suivantes.

D’abord, aucun n’a la certitude que, une fois élu, la nouvelle Assemblée nationale, dont il aura besoin pour faire adopter ses mesures, sera majoritairement de son bord, ce qui suffit à en compliquer l’adoption et la mise en application, voire à rejeter la disposition promise pendant la campagne présidentielle, d’où un premier mensonge.

Le second est éternel, autrement dit valide jusqu’à la fin des temps. Dans notre monde humain, en effet, TOUT est relatif et RIEN n’est absolu, autrement dit TOUT comporte à la fois du positif, des avantages, et du négatif, des inconvénients, ce qui vaut évidemment pour toutes les mesures promises aujourd’hui par quelque candidat que ce soit, lesquelles seront donc demain objet de satisfaction pour les uns et de mécontentement pour les autres !

Ainsi, pour juger de celles du candidat Hollande, en matière de logement, d’impôts, d’économie, d’éducation et de retraite, je me borne à vous renvoyer à un article publié le 26 dernier sur Internet, à 14:08, sous l’intitulé, « Le programme de Hollande est-il crédible ? », dans lequel des économistes ont passé au crible son projet. Bien entendu, pour être intellectuellement honnête, je vous rappelle que, comme écrit ci-dessus, ceci vaut également pour les mesures promises par tout candidat quel qu’il soit.

J’en termine par mon accusation d’utilisation de la « méthode Coué » par le candidat Hollande, sûrement inspiré par la campagne de Ségolène Royal et son prétendu pouvoir d’instaurer un soi-disant « ordre juste », mais aussi par celle de Barack Obama avec son slogan mensonger de campagne, Yes, we can, dont il est sûrement revenu depuis, j’espère, au vu de la réalité des faits, et notamment du résultat des élections de mi-mandat.

De même, puisqu’il croit sûrement qu’il suffit de vouloir pour pouvoir, en raison de notre prétendu « libre arbitre » le candidat socialiste n’a en effet aucun doute qu’il convaincra Angela Merkel sur les eurobonds et le nouvel objectif fixé à la Banque Centrale Européenne, alors que Nicolas Sarkozy n’y est toujours pas parvenu, malgré de nombreuses rencontres et la grande complicité qui unissait ces deux dirigeants.

Comme je pense avoir suffisamment exposé mes griefs contre le candidat Hollande et ses mensonges, entre autre, je m’en tiens donc là, dans l’attente de vos éventuelles objections contraires, intellectuellement et philosophiquement étayées. Á défaut de réponse contraire argumentée, LCPAN manifesterait, comme tant d’autres faiseurs d’opinion nommément dénoncés, son intention délibérée de continuer aussi à colporter les mensonges et les « croyances au miracle » du monde, donc à manipuler et à tromper sciemment l’opinion.

Toutefois, dans la souhaitable éventualité, où vous accepteriez de prendre part au seul et unique véritable débat d’idées qui vaille, à savoir celui qui ne consiste pas à opposer, à l’infini, des points de vue relatifs partisans à d’autres, tout aussi relatifs et partisans, mais à les confronter, tous sans exception, à LA Vérité éternelle absolue, celle qui suffit à TOUS les invalider dans leur prétention à dire l’Absolu, ce qui est absolument absolu, ou à parler au nom de l’Idéal, je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur, mes salutations philosophiques, laïques et républicaines, sauf à vous-même, évidemment, de démontrer le contraire.

PJ : I – Lettres des 27 septembre, 28 octobre et 26 décembre 2011 à François Hollande

      II –  Lettre du 25 novembre 2011 à Éva Joly

       III – Lettre du 15 janvier 2012 au quotidien Le Monde

       IV – Texte, Mensonges et lâcheté des élites

 Annexe B – « VÉRITÉ éternelle absolue versus mensonges et lâcheté des élites du XXIe siècle »

 VÉRITÉ éternelle absolue versus mensonges et lâcheté des élites du XXIe siècle

Le texte de présentation et les documents associés sont mis à la disposition de nos lecteurs à titre de démystification des principaux acteurs des « média-mensonges », intellectuels serviles, collaborateurs zélés de la parole manipulée, « chiens de garde » d’une intelligentsia qui a choisi son camp : celui où l’on peut avoir le ventre plein, à condition de savoir lécher les bottes !

[Présentation de ma correspondance par l’administrateur du site Épicure (années 2002-2003)]

 Le monde ment et Le Monde, comme au temps des Jean-Marie Colombani, ancien directeur général, Edwy Plenel, ex-directeur de rédaction, Bernard Cassen et Ignacio Ramonet du Monde diplomatique, colporte les mensonges et les « croyances au miracle » du monde sans jamais avoir l’honnêteté et le courage intellectuels d’en débattre, ainsi qu’en témoigne sa fin de non-recevoir officielle du 26 janvier 2004, dans laquelle Le Monde a lâchement jeté l’éponge.

Jusque-là, ce grand quotidien de gauche, leader d’opinion, n’avait toutefois pas établi pour autant la fausseté de mon argumentation sur quelque point de désaccord que ce soit, malgré ma dénonciation sans aucune ambiguïté de la Superstition sous toutes ses formes, telle qu’elle résulte du penser superstitieux humain, dont le critère fondamental est d’ « absolutiser fictivement le relatif », comme l’a établi l’œuvre du philosophe juif allemand Constantin Brunner (1862-1937), et notamment son ouvrage fondateur, La Doctrine des gens de l’Esprit et ceux de la multitude.

L’absolutisation fictive du relatif est un procédé intellectuellement malhonnête, conséquence de la confusion des facultés de notre entendement humain, qui consiste à faire passer mensongèrement pour absolu, pour la réalité ou Vérité absolue, le contenu seulement relatif pensé dans et sur (à propos de) notre monde par notre « entendement pratique », première faculté de la pensée humaine avec son imaginatio et sa ratio, selon la terminologie de Spinoza, dont l’une correspond à notre penser en images et l’autre au penser des concepts.

L’analyse des facultés par Brunner complète et développe celle de Spinoza dans Éthique II, proposition XL, scolie II. Brunner distingue trois facultés, ou genres de connaissance :

1)    l’entendement pratique, regroupant imaginatio et ratio,

2)    le penser spirituel, ou penser de l’Esprit véritable, appelé intuitio chez Spinoza,

3)    le penser superstitieux, ou penser de l’analogon de l’Esprit

 A ces trois facultés de l’entendement humain correspondent trois sortes de « vérités », ou réalités pensées spécifiquement par chacune d’elles. Ce sont respectivement :

1)    la vérité relative de l’entendement pratique

2)    la Vérité absolue du penser spirituel

3)    la vérité superstitieuse de l’Analogon de l’Esprit, ou vérité relative fictivement absolutisée, c’est-à-dire artificiellement présentée comme vérité absolue.

Notre entendement pratique a pour but premier de nous orienter dans notre monde des choses et de mieux le connaître en distinguant les images des concepts, notamment scientifiques. Il comprend en effet le penser en images représentatives de l’expérience des sens, ou imaginatio spinoziste, à l’origine des concepts génériques (Homme, femme, cheval, maison, égalité, justice, etc.), et le penser des Abstractions (langage, causalité, mathématiques et autres constructions auxiliaires (théorie atomique, par exemple), appelé ratio par Spinoza.

 Ce premier penser, assurément indispensable à la pratique de notre vie, ne nous est d’aucune utilité pour « philosopher », c’est-à-dire pour parvenir à l’absolu, à LA Vérité absolue, puisque toutes ses vérités sans exception sont toujours et seulement à jamais relatives, y compris les théories et les hypothèses scientifiques censées connaître et expliquer « absolument » notre monde.

Le penser superstitieux s’exprime dans la religion, toutes les religions sans exception (monothéistes ou non), dans la métaphysique matérialiste, ou scientisme (depuis Aristote jusqu’au positivisme contemporain), dans la métaphysique idéaliste, ou pseudo-philosophie spiritualiste des « philosopheurs » Descartes, Kant et consorts, dans l’idéologie, toutes idéologies confondues, et dans le moralisme [Morale et condamnations moralisatrices des Autres au nom de LA Morale – LAQUELLE ? !], tous catéchismes réunis, y compris le catéchisme soi-disant universel contemporain, ou Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948, dont seule l’inobservation est réellement universelle – sauf à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire à l’aune du devenir du monde depuis sa promulgation, soit plus de six décennies après !

Ce penser superstitieux est la source même de tous les mensonges et de toutes les « croyances au miracle » de notre monde, encore colportés aujourd’hui grâce à l’incessante collaboration active de nombreux et puissants complices de tous les milieux sans exception : médias de toutes tendances, politiciens de tous bords, intelligentsia (prétendus intellectuels ou pseudo-philosophes) et associations moralisatrices à sens unique.

En ce début du XXIe siècle, ces suppôts de la Superstition multiforme s’élèvent pour moi à quelques deux cents soi-disant « élites » médiatisées, tant nationales qu’internationales, nommément dénoncées en quelques cinq cent lettres, du seul fait de leur commune obstination à refuser de débattre pour justifier leurs mensonges. Et ce silence perdure parfois depuis plus de dix ans, à l’exemple de François Hollande, candidat socialiste élu président de la République en mai 2012, en dépit de ses sempiternels mensonges et autres « croyances au miracle », prometteuses de lendemains qui chantent, mais toujours reportés à DEMAIN et seulement DEMAIN, à la saint Glinglin, comme les siècles à venir ne manqueront pas de l’établir avec un recul suffisant !

Or, si ces mensonges éternels, inlassablement dénoncés, ne sont jamais remis en question par les faiseurs d’opinion de notre époque obscurantiste, c’est précisément parce que ces derniers tirent profit de leur refus d’affronter LA VÉRITÉ avec pour seule intention de satisfaire leurs intérêts égoïstes (individuels et collectifs) de toutes sortes, quitte à tromper et à manipuler sciemment l’opinion.

Et les avantages escomptés de leur silence se manifestent dans leurs affaires d’amour et de possession, quel qu’en soit l’objet (individus ou choses), d’où l’extrême importance de l’argent, dont ils sont insatiables, et dans leur appétit de gloire ou honneur-vanité, d’ego tout simplement, comme l’exprime leur quête incessante de titres, d’honneurs, de distinctions et de médailles de toutes sortes (civils, militaires, professionnels, artistiques, culturels, académiques, sportifs, etc.). Rien d’étonnant à cela, puisqu’il en va ainsi pour chacun des sept milliards d’êtres humains d’aujourd’hui, en raison de notre nature égoïste innée, à laquelle personne n’échappe, hypocrites et inconscients inclus !

Or le tour de passe-passe mensonger du penser superstitieux dans son absolutisation fictive du relatif termine dans une impasse, aboutit à une réelle impossibilité absolue, philosophiquement parlant, puisqu’il finit dans la prétendue coexistence possible de deux absolus, autrement dit dans un dualisme des absolus totalement irrationnel et antiphilosophique, car ce qui est absolu est également infini, éternel, immuable et parfait.

Par conséquent, comment deux absolus censés coexister pourraient-ils être infinis sans se limiter, ou être tous deux absolument parfaits sans être identiques au point de n’en faire qu’UN – sauf à admettre une entité plus parfaite que l’autre ! -, et comment expliquer que l’un de ces deux absolus, en l’occurrence notre monde humain, loin d’être immuable, est perpétuellement en mouvement, ce qui suffit à lui retirer sa prétendue « absoluité », son existence absolue ?

Ainsi, sauf à quiconque de démontrer le contraire, ces seules objections suffisent pour établir que la coexistence supposée de deux absolus est une impossibilité absolue par définition, tout comme deux vérités opposées ne sauraient être absolues, l’une et l’autre, à moins de démontrer qu’elles sont absolument vraies sans recourir à un artifice ou à un mensonge.

Néanmoins, cette impossible coexistence de deux absolus est à la source de la religion, toutes religions monothéistes confondues, ce qui n’empêche pas chacune des trois grandes religions planétaires de prétendre exprimer pareillement LA Vérité absolue, alors que c’est une offense manifeste à l’Idéal du « Vrai », puisque celui-ci ne peut être qu’Unique – sauf, précisément, à ne plus être l’Idéal !

Certes, lorsque l’on accepte sans rechigner l’existence possible de « deux absolus », pourquoi ne pas admettre aussi celle d’un « Idéal jumeau » de LA Vérité ? ! En l’occurrence, il est même triple pour notre époque obscurantiste qui s’accommode apparemment très bien des trois religions monothéistes dans leur prétention à dire pareillement l‘absolu, puisque, malgré des dogmes spécifiques différents, leurs pasteurs et leurs fidèles sont unanimes pour affirmer qu’il s’agit de LA VÉRITÉ absolue dans les trois cultes – vous avez dit « obscurantisme » ? !

OUI, car « absolutiser fictivement ce qui n’est que relatif », c’est précisément le signe indéniable de la Superstition dans ses divers modes d’expression ! Et en l’occurrence, peu importe à tous ces fidèles, chrétiens, juifs et musulmans, de s’entretuer au nom de leur religion spécifique, pourtant porteuse, paraît-il, d’une Vérité identique à celle des victimes.

En matière de superstition, la métaphysique idéaliste de Descartes et de Kant, entre autres, n’est pas en reste avec ses deux prétendus absolus censés aussi coexister, à savoir le Dieu idéaliste, en tout point semblable au Dieu religieux, et notre monde tenu pour une réalité absolue, ainsi qu’il en va d’ailleurs pour la métaphysique matérialiste avec son soi-disant principe créateur prétendument à l’origine de notre monde humain, également toujours tenu pour une réalité absolue, donc supposé exister absolument.

La religion et l’idéalisme se trouvent pourtant en opposition irréductible avec la métaphysique matérialiste, ce qui ne saurait exprimer LA Vérité car contradiction et vérité ne font pas bon ménage. Ainsi les religions monothéistes et la métaphysique idéaliste de Descartes et de Kant croient en la création de notre monde par un Dieu extra-mondain, tandis que la métaphysique matérialiste d’Aristote et du scientisme positiviste contemporain explique sa prétendue origine par un principe créateur tout aussi mystérieux, qu’il s’agisse d’un primus motor, d’un big bang, voire de toute autre hypothèsescientiste d’un commencement du monde, fut-ce dans l’avenir le plus reculé.

Néanmoins, si la question de la réalité effective d’un commencement et d’un Premier agent (cf. Avicenne et Averroès) reste toujours d’actualité, il est légitime de se demander : « Quelle est donc LA Vérité, en fin de compte ? Notre monde est-il l’œuvre de Dieu ou celle du big bang ? ! »

Ce n’est ni l’un ni l’autre ! Dieu ou le big bang, c’est précisément la rencontre au sommet de menteurs et de faussaires dénoncés par Péguy en ces termes :

« Qui ne gueule pas la vérité dans un langage brutal, quand il sait la vérité, se fait le complice des menteurs et des faussaires. » [Charles Péguy, Tempête sur l’Église de Robert Sénon]

En vérité, notre monde n’a pas « commencé », puisque notre monde est éternel, quoi qu’en disent nos scientistes contemporains fixant même son terme ultime à des milliards d’années sans aucun risque d’être démenti. Or l’éternité ne connaît ni commencement ni fin, comme chacun pourra s’en persuader par la lecture de la première partie de l’Éthique, intitulée de Deo, où Spinoza établit more geometrico une relation d’immanence entre Dieu ou la substance, ET notre monde, hors de tout lien de cause à effet, tel qu’il en va dans la relation de transcendance des religions et de la métaphysique.

Dans cette dernière relation fictive, toutefois, si la coexistence de deux absolus est réellement une impossibilité absolue par définition, sauf à récuser à Dieu lui-même son existence absolue et éternelle, il reste à admettre que notre monde n’a pas véritablement d’existence absolue, qu’il n’existe pas absolument – sauf à tomber précisément dans un dualisme superstitieux !

Et, en vérité, notre monde n’existe donc que « relativement », c’est-à-dire seulement «en relation» à notre entendement spécifique humain, et ce aussi longtemps qu’il y aura des êtres humains pour le penser. Le vécu de chacun témoigne, d’ailleurs, que son monde, qu’il appelle LE monde, commence à exister seulement dès sa naissance, voire in utero, et cesse d’être à notre disparition.

Cette évidente constatation suffit à invalider la superstitieuse croyance de Kant en une prétendue « chose en soi », dont l’existence serait indépendante d’un quelconque entendement qui la pense. Faute d’être une « chose en soi », ce monde pensé seulement par notre entendement spécifique humain n’a pas de réalité absolue, il n’existe pas en dehors de notre penser spécifique humain qui le pense – sauf à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire !

Ainsi notre monde humain, en apparence ô combien absolument réel pour nous, et que nous croyons être le même pour tous les autres infinis entendements, n’a aucune réalité perceptible identique pour l’infinité des autres « modes de penser », puisque ceux-ci pensent différemment de nous avec leur entendement spécifique. Ils pensent donc un autre monde, mais ils n’en pensent pas moins relativement leur propre monde dans sa relation à leur penser particulier, puisque, en vertu de l’omnia animata de Spinoza, TOUT pense – mais pas selon notre manière humaine de penser !

C’est pourquoi tous ces autres infinis entendements sont totalement incapables de percevoir notre monde, tel qu’il est représenté à notre penser spécifique humain. Le méconnaître est la source de notre « anthropomorphisme » consistant à juger des espèces, plus ou moins proches de nous, selon notre façon humaine de penser. Aucune d’entre elles, pourtant, pas plus le chat que le chien, etc. etc., ne pense notre monde à notre manière humaine, ne serait-ce que dans sa représentation, et le « croire » relève donc seulement du superstitieux scientisme pur et dur, dans son «absolutisation fictive du relatif ».

En vérité, « TOUT » monde, chacun des infinis mondes, n’existe que «relativement» à un penser spécifique qui le pense. Ainsi, par exemple, le monde du chat existe seulement « relativement », c’est-à-dire en relation à son penser spécifique de chat. « Son » monde n’est pas « LE » monde, tel que le perçoit l’entendement humain, et ceci vaut également pour tout autre entendement que le nôtre. C’est pourquoi Brunner peut affirmer, à juste titre, que « dans le monde des ânes, l’homme serait le plus sot des ânes », puisque, compte-tenu de ce qui précède, à supposer que nous puissions nous y retrouver, nous n’y serions nullement adaptés avec notre entendement humainmoins bien qu’un âne, assurément !

Ceci nous amène à déduire que le Dieu de la superstition religieuse et de la métaphysique idéaliste (cf. Descartes et Kant) n’a pas créé, dans une relation de transcendance, un monde UN, Unique, qui existerait « absolument » et serait représenté, de manière identique, à l’infinité des autres entendements qui pensent. Notre monde est uniquement « LE » monde pour nous les humains, tandis que chacun des infinis autres entendements saisit LE monde spécifique à son penser particulier, et n’existant donc que « relativement », c’est-à-dire en relation à celui-ci.

Comme cette relation de transcendance entre Dieu ou un principe créateur ET notre monde exige la croyance en la possible coexistence de deux absolus, sauf à admettre que notre monde humain a été créé ex-nihilo, proviendrait du néant, serait sorti de « RIEN », il reste à s’en remettre à la seule relation véritablement philosophique ou mystique, à savoir une relation d’immanence entre les infinis mondes spécifiques aux infinis entendements particuliers (dont le monde humain) et l’UN absolu, Unique, que Spinoza appelle Dieu ou la substance, en dehors de quoi il ne saurait y avoir de Vérité absolue – sauf encore à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire !

Cette relation d’immanence exclut la création ex-nihilo du big bang ainsi que celle des religions et de l’idéalisme sans renvoyer pour autant à un quelconque Néant, mais à l’Esprit véritable, à l’UN absolu, quelles que soient ses multiples désignations, Idée des idées de Platon, le Père pour le Christ, le Pensant chez Brunner, ainsi que celles des philosophies et des mystiques orientales ou autres.

Dans cette relation d’immanence entre l’UN absolu et l’infinité des mondes infinis, « TOUT » monde particulier s’avère être la manière spécifique, dont Dieu ou la substance se manifeste, se révèle, à « chacun » des infinis entendements infinis, sans aucune relation de cause à effet.

Ceci donne corps à la définition de Spinoza :

« Par attribut, j’entends ce que l‘entendement perçoit de la substance comme constituant son essence. » [Éthique I, définition IV].

Spinoza, toutefois, en « vrai » philosophe qui ne tombe pas dans le dualisme des absolus, ne peut pas être soupçonné d’avoir pensé seulement à l’entendement humain, c’est-à-dire avoir supposé que seul l’Homme pense, car ce serait précisément en contradiction avec son « omnia animata » : TOUT pense !

Par ailleurs, la relation établie concrètement par Brunner entre « TOUT » monde et « TOUT » entendement spécifique qui le pense conforte la proposition 7 d’Éthique II, où Spinoza écrit :

« L’ordre et la connexion des idées sont identiques à l’ordre et à la connexion des choses ».

Cette proposition a le grand mérite de régler définitivement le problème toujours non résolu par la Psychologie scientifique de l’époque, à savoir celui de l’union de l’âme et du corps, considérés comme séparés – d’où un nouveau dualisme des absolus –, ce qui fait encore dire légitimement à Brunner : « Si vous ne voulez pas avoir à les réunir, ne commencez pas à les séparer ! »

L’idée de la séparation du corps et de l’âme est semblable à celle opérée entre matière et esprit, dans laquelle la matière est faussement considérée comme existant absolument, ainsi que notre époque obscurantiste s’obstine à le croire. Or la véritable philosophie ne saurait se satisfaire de quelque dualisme que ce soit, et il reste donc à admettre que les choses de notre monde n’ont pas réellement de matérialité, pas de substantialité absolue, sauf à trouver le réel substrat du mouvement universel des choses de l’univers, toujours vainement recherché jusqu’ici.

D’ici cette trouvaille – à la saint Glinglin ! -, la seule explication évitant de tomber dans le dualisme « matière et esprit », corps et âme, se trouve dans la définition de la « chose », telle que proposée par Brunner. Selon lui, en effet, les « choses ne sont rien d’autre que nos sensations associées à nos représentations, en tant que leur cause ». Ainsi disparaît l’apparente matérialité absolue, et avec elle le dualisme matière et esprit, puisque, tant dans les choses que dans l’esprit, subsiste seulement du « pensé », du contenu pensé – dès lors, foin de la matière, c’en est fini du matérialisme absolu !

Au-delà de ce matérialisme avec ses deux prétendus absolus, dont l’un serait la cause de l’autre, le scientisme contemporain se fonde aussi sur le penser superstitieux, lorsqu’il prétend pouvoir connaître et comprendre « absolument » notre monde, quitte à inventer des histoires à dormir debout pour cacher son impuissance à le comprendre absolument », comme l’illustre la théorie évolutionniste, dans laquelle le « sur-singe » que nous sommes devenus attend d’évoluer en surhomme, dixit encore Brunner !

En vérité, loin de connaître et comprendre absolument notre monde, la Science devenue scientisme dans sa prétention à dire l’Absolu, la réalité ou Vérité absolue, n’établira jamais que des théories et des hypothèses relatives jusqu’à la fin des temps, même si celles-ci sont fictivement érigées en pseudo-vérité absolue de quelque époque que ce soit, comme ce fut passagèrement le cas pour la nôtre, à propos du neutrino.

En effet, en contrepoint de la théorie d’Einstein sur la vitesse ultime de la lumière, il fut récemment supposé par nos scientistes modernes – avant démenti ! – que le neutrino se déplacerait plus vite que la lumière – une fausse vérité qui allait à l’encontre de ce propos d’un homme de science intellectuellement honnête d’aujourd’hui, le spinoziste Bernard d’Espagnat en l’occurrence, écrivant dans son ouvrage, Á la recherche du réel :

« Le réel par excellence, ce ne sont pas les contradictoires entités sur lesquelles travaillent les hommes de science contemporains, mais ce que Spinoza nomme Dieu ou la substance. »

Néanmoins, malgré toutes ses infinies contradictions, ses lacunes et ses incertitudes en matière de prévision, le scientisme contemporain s’obstine à croire et à faire croire superstitieusement en la réalité ou vérité absolue d’un réchauffement climatique prétendument inéluctable. Et ce, dans un monde où, non seulement TOUT est relatif, mais où TOUT est en perpétuel mouvement, de sorte qu’il sera à jamais « absolument impossible d’y stabiliser quoi que ce soit », et notamment d’y instaurer un « climat sur mesure » pour l’éternité – sauf, précisément, à arrêter le mouvement universel des choses de notre monde, voire à quiconque, évidemment, de démontrer la fausseté de mes propos, en répondant à la question suivante posée au GIEC et à Barack Obama, preuves matérielles d’envoi à l’appui, ainsi qu’à l’essentiel de nos faiseurs hexagonaux d’opinion (médias, politiciens et intellectuels), dont la liste est à la disposition de quiconque.

Cette question, dont j’attends une réponse rationnellement, scientifiquement et philosophiquement étayée, depuis bientôt trois ans, était la suivante :

« In an universe, which is perpetually in movement, and where EVERYTHING is in a constant movement, that is the SOLE cause of the unceasing transformation of all the things of our world, human beings included, HOW would-it be possible to definitively stabilize anything and thus to establish on the planet a custom-made climate for all eternity, excepted by stopping this movement itself, precisely? »

Outre la religion et la métaphysique, l’idéologie, toutes les idéologies sans exception (illusion altermondialiste incluse), relève également du penser superstitieux dans son absurde prétention de transposer l’Idéal dans le quotidien, qu’il s’agisse des valeurs de liberté, d’égalité, de justice, de fraternité, etc., voire de banals problèmes quotidiens concernant l’Europe, l’euro, l’emploi, le pouvoir d’achat, etc., etc.

Néanmoins, cette croyance au miracle de pouvoir « faire vivre l’Idéal », selon la trouvaille du superstitieux candidat à l’élection présidentielle de 2012, Jean-Luc Mélenchon en l’occurrence, dont on peut exonérer les révolutionnaires de 1789, à titre de précurseurs, mais pas leurs suiveurs de 1917 et a fortiori les prophètes d’aujourd’hui, conduit forcément à de fallacieuses promesses de toutes sortes, puisque leur tort est, non seulement d’oublier la réalité de l’égoïsme effréné des humains dans leurs affaires d’amour, d’argent et d’ego, mais surtout l’impossibilité absolue de changer notre nature humaine égoïste, à laquelle personne n’échappe, comme déjà indiqué.

 De surcroît, tous ces vendeurs de rêve idéologique et autres marchands de bonheur éternel témoignent par leurs incessantes querelles intestines qu’ils sont bien incapables de tenir leurs promesses, faute de pouvoir déjà se mettre d’accord entre eux sur de prétendus intérêts communs, voire sur un impossible intérêt général, à jamais illusoire, jusqu’à preuve du contraire, tout au moins.

D’ici-là, « TOUS » s’imaginent pouvoir instaurer le paradis sur la Terre au moyen d’élections, de processions, d’implorations, d’incantations et autres pratiques magiques (ronde dite des « obstinés » de l’an 2009, par exemple) – pourquoi ne pas retourner aussi aux prières, vu l’impuissance généralisée des « grands » de ce monde à le changer en mieux, ou en moins pire, au vu de l’infinité d’évènements en suspens sur la planète entière ? !

Jusqu’ici, force est de constater que les mensongères promesses de toutes les idéologies se bornent à renvoyer leur éventuelle concrétisation à DEMAIN, toujours DEMAIN et seulement DEMAIN, à la saint Glinglin, ce qui laisse leurs fidèles « croyants au miracle » toujours naïfs, cocus et frustrés » jusqu’à leur dernier souffle – sauf à quiconque, évidemment, d’établir le contraire, mais je prends date aujourd’hui, 1erjuillet 2012, pour l’avenir le plus reculé, seul capable de juger valablement l’obscurantisme de notre époque en matière de Vérité en général et de climat en particulier ! ! !

Ce sont aussi ces mêmes menteurs qui se croient légitimés à fixer les règles d’un moralisme relevant seulement du penser superstitieux, car pareillement fondé sur l’ « absolutisation du relatif », ce critère universel et intemporel de la Superstition dans tous ses modes d’expression.

Ainsi tous les «vertueux» censeurs autoproclamés d’aujourd’hui font culpabiliser les Autres en se fondant uniquement sur de soi-disant valeurs universelles, sous-entendu « absolues », alors qu’il s’agit seulement de fictions, du seul fait que RIEN n’est absolu dans notre monde. Pour juger et condamner moralement leurs contemporains, comme il en va de toutes les époques, ils évoquent un Bien et un Mal prétendument absolus, dont la source serait l’Idéal, alors que l’ « Idéal en soi » est à jamais inconnaissable pour nous humains.

En lieu et place de l’Idéal véritable, ils jugent donc et condamnent seulement au nom de leurs conceptions idéalisées, individuelles et collectives, d’un Bien et d’un Mal fictivement élevés à l’Idéal ou érigés en Absolu.

En vérité, il n’y a ni Bien ni Mal absolus dans notre monde, c’est une imposture, c’est une escroquerie intellectuelle planétaire, comme suffit à l’établir la remarque suivante de Spinoza :

« Nous ne désirons pas une chose, parce qu’elle est bonne (absolument bonne, ou bonne « en soi« ), c’est parce que nous la désirons que nous la jugeons bonne. »

En effet, ce prétendu Bien absolu, s’il existait réellement dans notre monde comme dans l’Idéal, ne comporterait que des avantages, du « pour », du positif, tandis que le soi-disant Mal absolu contiendrait seulement des inconvénients, du « contre », du négatif. Or, dans notre monde humain où TOUT est relatif et RIEN n’est absolu, « TOUT » comporte, à la fois, des avantages, du « pour », du positif, ainsi que des inconvénients, du « contre », du négatif, entre lesquels tranchent seulement au gré des circonstances les intérêts égoïstes des individus et de groupes d’individus – sauf à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire !

La division artificielle des humains en deux catégories (les bons, les « vertueux », aujourd’hui les antiracistes, nous, et les mauvais, les « salauds », les racistes, eux) est tout autant une imposture et une escroquerie intellectuelle planétaire. En effet, cette fable a été dénoncée sans ambiguïté, voici bientôt deux mille ans, par l’un des grands diseurs universels de LA Vérité absolue dans une parabole devenue célèbre.

En réalité, il n’y a pas les bons et les mauvais par nature, il n’y a que des individus égoïstes, TOUS sans aucune exception. Face à l’Idéal, en effet, chacun est forcément coupable, coupable de « crime de lèse-Idéal », et il n’y a donc pas d’individus ni de groupes d’individus, TOUS critères d’appartenance confondus, réellement « IRRÉPROCHABLES », et donc aucune raison pour quiconque de faire culpabiliser les Autres, y compris au nom d’un passé révolu, dont les accusés ne sont en rien responsables !

Pourtant, c’est précisément sur cette question du passé colonial et de l’esclavage, entre autre, que notre époque obscurantiste ment aujourd’hui comme jamais auparavant, en se débattant dans ses infinies contradictions. Ainsi, de « vertueux » censeurs autoproclamés venus d’ailleurs se croient autorisés à reprocher aux Autres ce qu’eux-mêmes ont fait hier, et font encore aujourd’hui, lorsque leurs intérêts de toutes sortes l’exigent, comme l’illustre l’esclavage toujours d’actualité en terre d’islam, sans oublier des pratiques en totale contradiction avec le catéchisme universel contemporain, telles que charia, fatwa et djihad.

La troisième fiction du moralisme est celle d’un illusoire « libre arbitre », une soi-disant libre volonté, en vertu de laquelle il suffirait de vouloir pour pouvoir, et également supposée permettre à chacun de choisir librement entre le Bien et le Mal.

Ce « libre arbitre » sert au mieux à fonder la méthode Coué en s’imaginant miraculeusement détaché de la causalité infinie, au point d’en devenir le premier maillon, la « cause première », à l’exemple de Dieu ou du big bang.

Or, en vérité, loin de fonctionner selon notre bon plaisir, d’après notre soi-disant libre volonté, TOUT est régi dans notre monde par la « nécessité » spinoziste qui se manifeste dans le devenir du monde au quotidien. En effet, outre que même l’existence de notre monde résulte seulement de la « nécessité », puisque le « Dieu » ou substance de Spinoza n’était pas « libre » de le créer ou non, TOUT ce qui advient dans notre monde (phénomènes naturels, variations climatiques en particulier, évènements historiques, actions collectives, décisions ou actes individuels) dépend uniquement de la nécessité, du déterminisme infini ne laissant place ni au hasard ni à une quelconque libre décision.

Concrètement examiné, ce dernier se manifeste par l’enchaînement infini de l’infinité des causes et des effets résultant du mouvement perpétuel de l’univers et des choses qui le constituent, en sa qualité de seule et unique cause de leurs incessantes transformations.

En conséquence, compte-tenu de ces fictions, et sauf à quiconque de démontrer le contraire, le moralisme, la superstition moraliste, n’a pas vocation à régir la marche morale du monde pour l’éternité en se fondant sur des mensonges, auxquels même le catéchisme soi-disant universel contemporain, ou Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948, n’échappe pas, puisque, à l’exemple de tout autre catéchisme, il n’exprime RIEN d’absolument absolu, du seul fait que RIEN n’est absolu dans notre monde, d’où sa constante inobservation réellement universelle.

En résumé, tous ces moralisateurs et autres censeurs autoproclamés, faiseurs d’opinion publique, devraient donc se dispenser de donner des leçons de morale aux Autres, non seulement en raison des mensonges fondés sur de prétendus Bien ou Mal absolus sans aucune réalité, mais aussi parce qu’il n’y a pas réellement deux catégories d’humains par nature, les bons dont ils feraient partie, et les mauvais qu’ils jugent et condamnent moralement pour leur plus grand profit, et surtout parce que personne ne choisit « librement » quoi que ce soit, y compris en matière de bien et de mal, chacun étant soumis à la nécessité inexorable de sa nature humaine égoïste qui le fait agir, tantôt bien, tantôt mal, au gré des circonstances et de l’intensité de ses aspirations et intérêts égoïstes.

Pour terminer, compte-tenu de leur incohérence manifeste dans leurs propos publics et de leur obstination dans le silence et le refus de débattre, je dénonce pour leur « collaboration active » à l’œuvre funeste de la Superstition sous l’une ou l’autre forme, voire dans toutes, les soi-disant « élites » du XXIe siècle désignées ci-après.

En premier lieu, je dénonce les prétendus intellectuels ou pseudo-philosophes médiatisés suivants, car ils désinforment l’opinion au lieu de la guider sur le chemin du « VRAI », à savoir Bernard-Henri Lévy, Abdelwahab Meddeb, Alain Finkielkraut, Albert Jacquard, André Comte-Sponville, André Glucksmann, Annette Wieviorka du CNRS, Armand Abécassis, Axel Kahn, Boris Cyrulnik, Bruno Étienne, ex-directeur de l’Observatoire du religieux (décédé), Claude Ribbe, Clément Rosset, Daniel Cohen, Daniel Lindenberg, Denis Collin, professeur de philosophie, Edgar Morin, Elisabeth Badinter, Esther Benbassa, Gérard Noiriel, historien, Henri Atlan, Jean-Didier Vincent, Jean-François Revel de l’Académie française (décédé), Jean-Jacques Rosat, professeur-assistant de philosophie au Collège de France, Luc Ferry, Malek Chebel, Marc Lévy, écrivain, Marcel Gauchet, Max Gallo, Maurice T. Maschino, Michel Onfray, Nicolas Tenzer, Olivier Duhamel, Olivier Le Cour Grandmaison, Pierre-François Moreau, professeur de philosophie à l’Ecole Normale de Lyon, Pierre Nora, académicien, Pierre Rosanvallon, professeur au Collège de France, et Roger-Pol Droit, chroniqueur philosophique au quotidien Le Monde.

Mais aussi des gens de médias, Ali Baddou de France Culture, Claude Imbert, Christophe Ono-ditBiot, Emilie Lanez, François Dufay, Franz-Olivier Giesbert, Mireille Duteil et Violaine de Montclos du quotidien Le Point, Jean-François Kahn, François Darras, Elisabeth Lévy et Maurice Szafran de l’hebdomadaire Marianne, Serge Moati de Ripostes, Marc Tellenne (alias Karl Zéro, ex-journaliste de Canal+), Charles Sylvestre de L’Humanité, Jean Daniel, Catherine Farhi, Jacques Julliard et François Reynaert du Nouvel Observateur, Jean-Claude Guillebaud et Jacques Guérin de Télé Obs Cinéma, Marc-Olivier Fogiel de M6, Hervé Bruzzini, directeur délégué à l’information sur France 3, Serge July, ex-directeur de Libération, Bernard Poulet de L’Expansion, Jean-Pierre Elkabbach, Guillaume Durand et Frédéric Taddéi d’Europe1, Olivier Mazerolle et Philippe Manièrede BFM, Élise Lucet, Yves Calvi, Alain Duhamel, Arlette Chabot, Gérard Miller, David Pujadas, Benoît Duquesne, Thierry Ardisson, Laurent Ruquier – et sa bande ! – de France 2, Alain Weill, président de BFM et RMC, Jean-Jacques Bourdin, Alain Marschall, Olivier Truchot, Gaston Kelman, Karim Zéribi et autres « Grandes Gueules autoproclamées » de RMC Info, Hedwige Chevrillon de BFM Radio, Christophe Barbier, Denis Jeambar et Eric Mettout de L’Express, Sophie Coignard, journaliste, Patrick Buisson et Michel Field de LCI, Philippe Val et Fiammetta Venner de Charlie Hebdo, Anthony Bellanger et Alexandre Adler de Courrier International, Lluís Bassets, directeur adjoint du quotidien espagnol El Païs et Robert Ménard de Reporters sans frontières, ainsi que les directions et rédactions de divers médias (Télévision et radio) : LCI, Canal +, France 2, France 3, France 5, France Info, France Culture, Europe 1, RMC Info, RTL, et les rédactions de grands quotidiens hebdomadaires et autres revues mensuelles : Le JDD, L’Histoire, La Dépêche du Midi, La Montagne, Le Figaro, Le Progrès, Les dernières nouvelles d’Alsace, L’Est Républicain, L’Express, Libération, Nice-Matin, Nord Eclair, Ouest France, Sud-Ouest, Le Parisien, Le Canard enchaîné, les Inrockuptibles, Valeurs actuelles, VSD, Philosophie Magazine et Esprit, sans oublier des maisons d’édition, telles les Editions Complexe à Bruxelles, les Editions du Rocher et les Editions Actes Sud.

Servent également la Superstition à des titres divers, mais unanimes dans leur refus de débattre, Acrimed, Bruno Julliard, ex-président de l’UNEF, Guy Bedos, Thierry Ardisson, Dieudonné M’Bala M’Bala, Dominique Barella, ex-président de l’Union syndicale des magistrats, École de Journalisme de « Sciences-Po », École Supérieure de Journalisme de Lille, Gilbert Collard, Jean Ferrat (décédé), Jean Montaldo, Jacques Vergès, Serge et Arno Klarsfeld, Patrick Pelloux, Nicolas Hulot de TF1, Rony Brauman, ex-président de Médecins sans frontières, Stéphane Pocrain, des leaders syndicaux Marc Blondel, Jean-Claude Mailly de F.O, Bernard Thibault et Maryse Dumas de la C.G.T, Gérard Aschieri de la F.S .U, José Bové de la Confédération paysanne, François Chérèque de la C.F .D.T, Jacques Voisin de la C.F.T.C, la C.N.I.L, le Comité consultatif national d’éthique, Isabelle Alonso et Marie-Victoire Louis, féministes notoires, Thierry Desjardins, Mireille Delmas-Marty, juriste, Corinne Lepage et Yazid Zabeg, commissaire à la diversité

Sans oublier des associations moralisatrices à sens unique et adeptes du « deux poids, deux mesures » : Amnesty International, le CRIF, France Terre d’Asile, le GISTI, la LICRA, la Ligue des Droits de l’homme, le M.R.A.P, SOS Racisme et le Syndicat de la magistrature, ainsi que des responsables politiques, toutes tendances confondues : Arnaud Montebourg, Benoît Hamon, Bernard Kouchner, Bertrand Delanoë, Christiane Taubira, Claude Allègre, Dominique Strauss-Kahn, Élisabeth Guigou, François Hollande, Georges Frêche (décédé), Henri Emmanuelli, Jack Lang, Jean Glavany, Jean-Marc Ayrault, Julien Dray, Laurent Fabius, Lionel Jospin, Martine Aubry, Maxime Gremetz, Michel Sapin, Noël Mamère, Olivier Besancenot, Pierre Moscovici, Robert Badinter, Ségolène Royal et Vincent Peillon, politiciens de gauche, Bruno Gollnisch, Christian Kert, Dominique de Villepin, Dominique Dord, Francis Vercamer, François Bayrou, Hervé Mariton, Jacques Chirac, Jean-Marie Le Pen, Jean-Pierre Raffarin, Jérôme Chartier, Marine Le Pen, Maurice Leroy, Nathalie Kosciusko-Morizet, Nicolas Sarkozy, Patrick Devedjian, Philippe de Villiers, Rachid Kaci, Ramatoulaye Yade-Zimet et Yves Jego, responsables politiques de droite, sans oublier au niveau international, Barack Obama, Ban Ki-Moon et José-Manuel Barroso, « croyants au miracle » de la parole du GIEC, ainsi que ceux dont je n’ai pas conservé la preuve matérielle de leur refus de débattre sur le fond, donc de leur volonté de continuer à colporter les mensonges et les « croyances au miracle » du monde.

QUICONQUE NE LES DÉNONCE PAS S’EN REND COMPLICE !

Pour en juger, il me suffit de me référer à ce mot de Charles Péguy, que je fais mien :

« Qui ne gueule pas la vérité dans un langage brutal, quand il sait la vérité, se fait le complice des menteurs et des faussaires. » [Charles Péguy, Tempête sur l’Église de Robert Senon]

Pourquoi eux particulièrement, et pas d’autres? ! Parce qu’ils contribuent notoirement à façonner l’opinion par leur penser superstitieux, et les propos de ces « faiseurs d’opinion » se sont donc révélés mensongers à tel ou tel moment, et à tel ou tel titre. Mais, en quoi consiste leur mensonge ?

Pourquoi appeler mensonge ce qui est la « vérité relative » de notre monde, c’est-à-dire une vérité partielle et mutilée par dissimulation consciente ou non, donc une vérité partisane puisque présentant seulement la part de vérité susceptible de conforter des intérêts de toutes sortes ?

Toute vérité relative, fruit de notre entendement pratique, premier genre de connaissance commun à tous les humains sans exception, devient mensonge, lorsqu’elle se transforme sciemment, par « absolutisation fictive du relatif » et refus de débattre, en dogme ou Parole révélée de la Superstition religieuse, métaphysique [Doctrine matérialiste et scolastique idéaliste], idéologique et moraliste.

Dans ces divers modes d’expression de la Superstition, la vérité relative abandonne la sphère de la Raison pour entrer dans celle de la Foi, de la « croyance au miracle », qui est le lot de la quasi-totalité de l’humanité. De surcroît, ceux qui « font l’opinion » en colportant les mensonges du monde n’ont même pas l’honnêteté et le courage intellectuels de confronter leurs points de vue relatifs partisans, inspirés par leurs intérêts de toutes sortes, à la pensée des grands diseurs universels de LA Vérité éternelle absolue : mystiques authentiques, tels le Bouddha et le Christ dans leur Parole non pervertie par la superstition religieuse qui a usurpé leur nom pour en faire les fondateurs d’une religion qu’ils n’ont pas voulu créer, et « vrais » philosophes du UN absolu, parmi lesquels Socrate, Platon, Giordano Bruno, Spinoza et Constantin Brunner, entre autres rares non-philosopheurs.

LA Vérité absolue ne peut pas être celle du « dualisme » superstitieux des religions, des doctrines matérialistes et idéalistes, des idéologies et des morales, puisque la coexistence de « deux » absolus est une «impossibilité absolue » par définition – comme cela est démontrable, et a été démontré more geometrico !

C’est pourtant en vertu de ce dualisme que les soi-disant élites nommément dénoncées participent sciemment à la tromperie généralisée de l’opinion, malgré les nombreuses mises en garde contre l’« absolutisation du relatif», ce péché capital de notre entendement humain, à l’origine de tous les mensonges du monde – en effet, si « deux » vérités absolues coexistaient absolument, aucune des deux ne saurait être LA Vérité absolument absolue !

Tous ceux que je dénonce sont pourtant très lucides et apparemment à comprendre ce discours de Vérité, mais ils n’en persistent pas moins dans leur escroquerie intellectuelle, dans la mystification, malgré le courrier adressé nommément pour les inviter à débattre et à renoncer éventuellement à leurs dogmes de toutes sortes, et c’est ainsi qu’ils peuvent continuer à propager leur « prêt à penser » superstitieux pour tromper sciemment l’opinion. Ils ont seulement raison, en effet, parce qu’ils refusent le véritable débat d’idées, et qu’ils ont peur d’affronter leurs détracteurs.

Le véritable débat d’idées ne consiste pas à opposer, à l’infini, des points de vue relatifs partisans à d’autres tout aussi relatifs et partisans, mais à les confronter, TOUS sans exception, à LA Vérité éternelle absolue, laquelle suffit à tous les invalider dans leur prétention à dire l’Absolu ou à parler au nom de l’Idéal. Alors, que tous ces faiseurs d’opinion publique montrent, voire démontrent, que leurs dogmes religieux, métaphysiques, idéologiques, moralistes, voire moralisateurs, ont une quelconque réalité absolue !

Sur le plan de la superstition idéologique, en particulier, leur commune impossibilité absolue de relever le défi que je lance à tous les penseurs, « politiques » et autres du monde entier, à propos de leur « croyance au miracle » de l’avènement d’un monde « parfait » avec des humains « imparfaits », est la preuve incontestable qu’ils trompent l’opinion !

Quoique dûment prévenus de ne jamais pouvoir transposer l’idéal dans la réalité quotidienne, ils sont contraints par leurs intérêts égoïstes les plus divers à le faire croire, mais ils demeurent incapables de s’élever au-dessus de leurs prises de position partisanes et d’aller au-delà de toutes les opinions relatives de l’époque pour se libérer de leur penser superstitieux anthropomorphe.

De plus, en raison de leur superstitieuse croyance en un Bien et un Mal prétendument absolus, tous ces « donneurs de leçons de morale » à la planète entière prennent un malin plaisir intéressé à faire culpabiliser les Autres.

QUI ou QUOI a investi en juges suprêmes sur Terre tous ces « censeurs autoproclamés », chiens ou chiennes de garde du moralisme, et autres gendarmes de la pensée unique « politiquement correcte », néanmoins mensongère avec son Bien et son Mal prétendument absolus et sa division artificielle des humains en bons et en méchants, tellement pratiques, voire juteux, pour condamner moralement les Autres ?

Dans leurs condamnations moralisatrices à sens unique se prennent-ils donc réellement pour le Dieu superstitieux de la religion et du spiritualisme kantien, par ailleurs beaucoup plus indulgent qu’eux, puisque n’attendant rien de son supposé « Jugement dernier », alors que les « vertueux moralisateurs » de l’époque, et de toutes les époques, en attendent des retombées « juteuses », à maints égards, financièrement et électoralement en particulier ?

Pour cela, ils vont même aujourd’hui jusqu’à faire culpabiliser les Autres en volant au secours d’une religion, dont Spinoza déclarait déjà – en raciste bien connu ! -, il y a plus de trois siècles :

« Je reconnais tout l’avantage de l’ordre politique qu’instaure l’Église romaine et que vous louez tant ; je n’en connaitrais pas de plus apte à duper la foule et à dominer les âmes s’il n’existait l’Église musulmane qui, de ce point de vue, l’emporte de loin sur toutes les autres ; depuis l’origine de cette superstition, aucun schisme en effet ne s’est déclaré dans cette Église. » [Spinoza, Correspondance, Lettre LXXVI à Albert Burgh]

Pourtant tous ces censeurs autoproclamés, donneurs de leçons de morale aux Autres, n’ont-ils jamais menti, triché, fraudé, magouillé, manqué à leur parole, voire volé – fut-ce un seul franc ou euro à l’Etat ! -, calomnié, trahi, discriminé – ne serait-ce qu’en parole, à l’exemple des vertueux Jacques Chirac et Lionel Jospin en leur temps ! -, etc., etc. ?

En vérité, TOUS humains confondus, Blancs, Noirs, Jaunes, Rouges, Arabes, Juifs et autres races, chrétiens, musulmans, juifs, athées, vieux ou jeunes, hommes ou femmes, hétérosexuels ou homosexuels, citoyens de droite ou de gauche, riches ou pauvres, beaux ou laids, valides ou non, bien-portants ou malades, etc., face à l’Idéal, nous sommes TOUS coupables, coupables de crime de lèse-Idéal – surtout en matière de Vérité, précisément !

RIEN ne légitime donc leurs condamnations moralisatrices des « Autres » au nom de LA Morale, puisqu’il n’y a pas, il n’y a jamais eu et il n’y aura jamais d’individus ni de groupes d’individus, TOUS critères d’appartenance confondus, réellement « IRRÉPROCHABLES » ! « IL » nous l’avait pourtant clairement dit, voilà bientôt deux mille ans, mais leurs intérêts égoïstes continuent à étouffer sa Parole de Vérité !

La Vérité éternelle absolue se trouve au-delà de notre relativité humaine et de l’infinité des relativités infinies. Elle traverse les millénaires ainsi que les multiples cultures et civilisations, en faisant fi de notre anthropomorphisme, notre manière relative spécifique humaine de saisir le Un absolu ou Substance de Spinoza : CE QUI EST de toute éternité ! Mais, c’est tellement bénéfique pour les « menteurs » et autres censeurs de jouer les marchands de rêve au lieu d’éclairer l’opinion pour la conduire vers l’idée mysticophilosophique ultime du penser spirituel ou penser de l’Esprit « véritable » qui n’est pas le Saint-Esprit !

ILS ONT PEUR DE LA VÉRITÉ ABSOLUE ! ILS ONT PEUR DU VÉRITABLE DÉBAT D’IDÉES ! ILS SONT NOS PHARISIENS ET NOS MARCHANDS DU TEMPLE CONTEMPORAINS !

Cependant l’Histoire et l’actualité du monde montrent que LA Vérité éternelle absolue finit toujours par rattraper les vendeurs d’illusions de toutes sortes, comme Marx en a apporté la preuve post-mortem… et tant d’autres de leur vivant !

Comme en témoigne ma correspondance, ma seule démarche a toujours été de mettre ces menteurs par procuration face à leur immense responsabilité en raison de leur grande influence sur l’opinion. Toutefois, à ce jour, aucun n’a eu le courage intellectuel de s’engager dans le seul et unique « véritable » débat d’idées, dont je rappelle qu’il ne consiste pas à opposer « à l’infini » – sans jamais connaître d’ « arrêt » ! – des points de vue « relatifs partisans » à d’autres tout aussi relatifs et partisans, mais à les confronter, TOUS sans exception, à La Vérité éternelle absolue qui suffit à tous les invalider définitivement dans leur prétention à dire l’absolu.

ELLE seule, en effet, est en mesure de mettre un terme définitif, un arrêt indépassable à notre penser « relatif », à notre penser du monde humain « relatif », ainsi qu’à toute contradiction ou incohérence, source de toutes les pratiques du « deux poids, deux mesures ». Le « Vrai », en effet, peut-il être absolument vrai, dès lors qu’il comporte une seule contradiction, ou lorsqu’une vérité relative s’oppose à une autre ?

C‘est pourquoi le silence et le refus de débattre des « élites » du monde de l’information, de la politique, de l’intelligentsia et des associations « droits-de-l’hommiste » m’autorisent à dénoncer leur lâcheté intellectuelle, la « lâcheté des élites », ces soi-disant « élites » qui affirment mensongèrement, du haut de leur « principe d’autorité » sans réel fondement, hormis l’assise superstitieuse de prétendus intellectuels et de pseudo-philosophes servant aux « dominants » à légitimer leur « pouvoir » religieux, politique, moralisateur, scientifique, médical, etc., conforté aujourd’hui par les puissances médiatico-financières qui « font l’opinion ».

Tout le courrier mentionné précisant ce qu’il faut entendre par « mensonges du monde » est à la disposition de quiconque – JUSTICE incluse ! Le fil conducteur de cette correspondance est un hommage et un témoignage de reconnaissance au philosophe juif allemand, Constantin Brunner (1862-1937), héritier spirituel de Socrate, Platon, Giordano Bruno, Spinoza et du Christ, entre autres.

L’œuvre entière de Brunner atteste sa lutte incessante contre la Superstition, qu’il a combattue par une présentation créatrice originale de LAVÉRITÉ éternelle absolue, dont les menteurs ne veulent pas entendre parler – et a fortiori débattre ! -, car elle est trop préjudiciable à leurs intérêts égoïstes de toutes sortes.

Ceci suffit à faire l’unanimité contre elle et à expliquer pourquoi sa voix est bâillonnée aujourd’hui comme hier, et le sera encore demain, ainsi que la conspiration du silence, illustrée par ce large éventail des prétendues « élites » de l’époque, en annonce l’augure.

Forcément, plus ces « vertueux » faiseurs d’opinion accepteraient de débattre, plus ils seraient contraints de reconnaître leurs « mensonges » ! ! !

Modifié le 2 juillet 2012

 

 

 

 

 

 

À propos de guyboussens

Disciple de Spinoza et de son héritier spirituel, le philosophe juif allemand Constantin Brunner (1862-1937), je n'ai d'autre but que d'être leur porte-parole posthume pour divulguer la voie et la voix de LA Vérité éternelle absolue - sauf, évidemment, aux menteurs de toutes sortes [Médias, politiciens, prétendus intellectuels, pseudo-philosophes, et associations droits-de-l'hommiste, moralisatrices à sens unique] de démontrer le contraire, comme je l'attends depuis plus de dix ans, tant sont grandes leur lâcheté et leur malhonnêteté intellectuelles, ainsi que mon texte fondateur, Mensonges et lâcheté des élites, en donne un large aperçu sur le fond et les dénonce nommément.
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