J’ACCUSE : « Un « pays de merde », dans un monde de « TARÉS » ! » [SUITE]

[SUITE I]

Si c’est NON, qu’attendez-vous avec vos deux stations de radio, une chaîne de .télévision et un quotidien, La Tribune, pour dénoncer ce mensonge planétaire « écolo » ? ! Si c’est OUI, merci de bien vouloir avancer votre argumentation, intellectuellement et philosophiquement étayée, contredisant ma totale certitude. En effet, j’attends toujours jusqu’ici une réponse, non seulement de la part des principaux médias nationaux, des responsables politiques de tous bords (Nicolas Sarkozy, notamment), des intellectuels et des leaders d’associations écologistes (Cécile Duflot, Daniel Cohn-Bendit et Nicolas Hulot) contactés, mais surtout, au niveau international, celle des membres du GIEC, de Barack Obama, de Ban-Ki-Moon et de José-Manuel Barroso (preuves matérielles d’envoi du courrier à l’appui). Je parle là d’une réponse contraire argumentée, susceptible de démonter définitivement cette simple objection à validité éternelle :

« In an universe, which is perpetually in movement and where EVERYTHING is in a constant movement, this universal movement is the UNIQUE cause of the unceasing transformation of all the things of our world, human beings included, and thus HOW would-it be possible to definitively stabilize anything and establish on the planet a custom-made climate for the eternity, excepted, precisely, by stopping this movement itself? »

Outre cette « foutaise » planétaire, le penser scientiste du jour continue à se manifester, non seulement dans ses croyances superstitieuses de big bang et d’évolutionnisme, entre autre, mais surtout en faisant et laissant croire que la Science serait capable de connaître et comprendre « absolument » notre monde – certes, encore et toujours seulement DEMAIN ! -, alors que TOUTES ses théories et hypothèses sont à jamais relatives jusqu’à la fin des temps – sauf, évidemment, à vous-même, aux scientifiques, ou à quiconque de démontrer le contraire, à l’aune du savoir scientifique au fil des siècles et des millénaires ! ! !

Et ainsi, même dans ce domaine a priori sérieux, la débilité intellectuelle de notre époque, refusant catégoriquement tout véritable débat d’idées, en vient-elle à proférer des « absurdités » du genre : « On va tout savoir sur l’origine de l’univers grâce à eux ! ». Et Laurent Ruquier parlait là des frères Bogdanov, ces métaphysiciens scientistes par excellence, capables de vous écrire l’historique de l’univers depuis sa « prétendue » origine, alors qu’il n’y a pas de question plus superstitieuse que celle demandant : « Comment notre monde a-t-il commencé ? » En cas de désaccord sur ce point très précis, je vous saurais gré également de bien vouloir démontrer le contraire !

Après ce long préambule, je vous rappelle – puisque déjà dit ! – que le penser superstitieux se caractérise par l’ « absolutisation du relatif », en particulier dans ses condamnations moralisatrices inspirées par lui en matière de religion, d’idéologie et de morale, car ce sont ces accusations morales publiques qui font, précisément, toute la différence entre l’avant et l’après 1981. En effet, pour lancer leurs anathèmes, les « censeurs autoproclamés » de l’époque absolutisent fictivement le « relatif », c‘est-à-dire qu’ils font passer pour absolu, pour réalité ou Vérité absolue, le contenu seulement « relatif » pensé dans et sur (à propos de) notre monde – mais, faut-il le rappeler, sans jamais accepter de débattre sur le fond à propos des idées fausses de la religion, de l’idéologie et de la morale, fut-ce dans son catéchisme prétendument universel !

S’il n’avait qu’un défaut, en effet, il est de taille : c’est celui de faire croire, à l’exemple de tout autre catéchisme religieux ou idéologique, qu’il suffirait de textes, de lois, de décrets, de belles paroles, etc. pour transposer l’Idéal dans le quotidien, dans la réalité quotidienne du monde : DEMAIN ! ! ! Je ne m’étends pas ici sur la divergence abyssale entre l’ « Idéal en soi », à jamais inconnaissable pour nous les humains, et nos conceptions personnelles idéalisées, mais je tiens à souligner que celles-ci ne sont que de pâles reflets de l’ « Idéal en soi ».

En effet, bien qu’inspirées par l’Idéal dans le moindre concept pensé par chacun (par exemple, femme idéale, homme idéal, liberté idéale, animal idéal, véhicule idéal, etc., etc.), elles n’en demeurent pas moins subjectives, donc relatives, puisque ces concepts, fictivement élevés à l’Idéal, différent d’un individu à l’autre, d’un groupe d’individus à d’autres. Force est donc d’accepter la vérité de ce mot exprimé, voici bientôt deux mille ans, par l’un des grands diseurs de LA Vérité éternelle absolue : « Mon royaume (l’Idéal ou l’Absolu) n’est pas de ce monde » !

Faute d’en admettre sa validité éternelle, le monde, notre monde de « TARÉS », continue de courir vainement après ce que le poète, Jacques Brel en l’occurrence, appelait l’ « inaccessible rêve ». C’est seulement en usurpant son nom que les menteurs d’aujourd’hui (Médias, politiciens, intellectuels et associations moralisatrices dénoncés), pas plus connaisseurs que vous et moi de l’ « Idéal en soi », se transforment en donneurs de leçons, en professeurs de morale, et s’arrogent le droit de dicter le Bien et le Mal prétendument absolus pour en tirer profit – mais il ne vous est pas interdit de démontrer le contraire pour vous distinguer précisément de ces menteurs !

Aussi, comme déjà dit, pour établir concrètement les mensonges du moralisme, de la superstition moraliste, je rappelle que la France d’avant 1981 comprenait déjà une population métissée, à savoir des Arabes, musulmans ou non, et des Noirs d’Afrique ou des Caraïbes – certes dans des proportions infiniment moindres qu’aujourd’hui -, ainsi que des juifs, des asiatiques et des gitans, entre autres. Toutefois, en ce temps à jamais disparu, il ne venait même pas à l’idée de ces communautés, aussi diverses soient-elles, de faire culpabiliser publiquement la France et les Français au nom d’un passé révolu de plusieurs décennies, voire de plusieurs siècles.

Exactement, comme il en va encore ainsi, aujourd’hui, pour la population d’origine asiatique, dont la différence de religion et de couleur de peau n’échappe pourtant à personne, et pareillement colonisée autrefois, mais qui reste silencieuse sur un ancien temps semblable avec ses guerres coloniales, évitant ainsi de faire culpabiliser la France et les Français pour des comportements, dont nos contemporains ne sont pas responsables – mais, c’est tellement « juteux » d’utiliser LA Morale comme une arme contre les Autres, alors comment notre égoïsme inné pourrait-il y résister ? !

C’est sûrement pourquoi la communauté asiatique n’est pas sujette au racisme stricto sensu, dont d’autres se plaignent, alors qu’ils sont souvent à la fois victimes et auteurs, ainsi que la triste réalité quotidienne le manifeste par des agressions intercommunautaires entre Arabes et juifs, entre Arabes et gitans, entre Noirs et Arabes, sans oublier le racisme anti-Blanc, en paroles et en actes, comme suffisent à en témoigner les paroles de nombre de rappeurs – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de me prouver avoir entendu ou lu, avant 1981, l’expression « Nique la France » », avoir vu brûler un drapeau français et « caillasser » des véhicules de police, de pompiers et de médecins, voire barrer des rues, au mépris des lois et des usagers, pour y prier – vous avez dit « pays de merde » ? !

OUI, je persiste et je signe, en raison de la lâcheté de nos « politiques », tous intéressés par les voix de ces communautés, et donc peu soucieux de poser le débat au grand jour, à défaut de pouvoir rétablir l’ordre républicain. Et ce, aussi longtemps que ces faits perdureront avec la bénédiction des soi-disant bienpensants de l’époque, qui paradent dans les médias pour en tirer profit électoralement et/ou financièrement – c’est pourquoi je les dénonce en raison de leur silence et de leur refus de débattre sur le fond. Il ne faut pas oublier non plus notre politique d’immigration, qui échappe à la légitimité de l’État, puisque, désormais, en grande partie entre les mains d’associations favorables à l’entrée de clandestins violant impunément nos lois et nos frontières, tout en se mettant ainsi elles-mêmes hors la loi au nom de LA Morale, à savoir de la charité, de la solidarité – toutefois, lorsque vous y serez disposé, nous confronterons ce qui, du Droit ou de LA Morale, doit prédominer dans un État démocratique : une Morale à géométrie variable, ou des textes de loi démocratiquement acceptés ! ! !

Aujourd’hui, par ailleurs, la superstition musulmane est devenue la source de condamnations moralisatrices sous couvert d’accusations d’ « islamophobie », ou « stigmatisation de l’islam », sans jamais s’occuper davantage du fond superstitieux de toutes les religions sans exception. Ainsi vos « Grandes Gueules » volent-elles au secours de la superstition musulmane, au point qu’il serait interdit dans un État laïque de critiquer l’islam, tant dans ses pratiques d’un autre âge (sharia et fatwa), puisque contraires aux valeurs du catéchisme universel contemporain en matière d’égalité des sexes et de liberté d’expression, que sur le dogme qui les fonde : une preuve de plus de l’obscurantisme de notre époque, comme suffit à en témoigner l’évocation de Voltaire, de Spinoza et du petit père Combes dans une République courageuse, la Troisième, qui fait de l’ombre à la nôtre.

Si, après ces propos contre la religion en général et l’islam en particulier, il vous venait l’idée saugrenue de faire l’amalgame entre la légitime critique d’idées – y compris celles de la religion ! – et des attaques personnelles contre les fidèles, et donc de me traduire en justice pour propos racistes antimusulmans, je préfère vous prévenir que, trivialement parlant, vous prendriez un bock comme jamais auparavant, ainsi que je l’ai aussi écrit à Nicolas Sarkozy et également en envoi recommandé avec accusé de réception, dont le récépissé postal tient lieu seulement à ce jour de réponse argumentée contraire – une preuve, s’il en est que même les puissants, qui nous gouvernent, sont désarmés devant LA Vérité éternelle absolue !

Mais je n’insiste pas davantage, car vous trouverez la suite et de plus amples arguments dans le courrier joint adressé à de soi-disant « Grandes Gueules » conformistes, qui colportent à longueur d’antenne les mensonges et les « croyances au miracle » de la pensée unique du jour – celle des « vertueux autoproclamés » !

C’est pourquoi je me limite ici à comparer brièvement le siècle des Lumières avec un Voltaire, ardent combattant antireligieux malgré les risques encourus alors, et le nôtre, avec le soi-disant philosophe Bernard-Henri Lévy volant au secours de l’islam en tenant des propos totalement antiphilosophiques, au point de déclarer sur Europe I, au sujet de l’islam et du Coran : « C’est une grande religion, c’est un grand Livre ! » – et ce, face à Ayaan Hirsi Ali, une musulmane précisément frappée d’une fatwa !

A SUIVRE…

À propos de guyboussens

Disciple de Spinoza et de son héritier spirituel, le philosophe juif allemand Constantin Brunner (1862-1937), je n'ai d'autre but que d'être leur porte-parole posthume pour divulguer la voie et la voix de LA Vérité éternelle absolue - sauf, évidemment, aux menteurs de toutes sortes [Médias, politiciens, prétendus intellectuels, pseudo-philosophes, et associations droits-de-l'hommiste, moralisatrices à sens unique] de démontrer le contraire, comme je l'attends depuis plus de dix ans, tant sont grandes leur lâcheté et leur malhonnêteté intellectuelles, ainsi que mon texte fondateur, Mensonges et lâcheté des élites, en donne un large aperçu sur le fond et les dénonce nommément.
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